L'Amazonie et le Brésil: une longue histoire (III)
Partie III: A esperença é a ùltima quem morre
"L'espoir fait vivre", entre les été 2011 et 2012 le Brésil a atteint le plus bas taux de déforestation enregistré. Les efforts du gouvernement, qui s'est engagé au sommet en 2009 à réduire de 80% le taux de déboisement d'ici 2020, ont permis de réduire de 27% la surface déboisée par rapport à l'année précédente.
L'augmentation la productivité agricole ainsi que le développement des énergies durables permet de diminuer les aires dédiées à l'agriculture ou à l'élevage tout en augmentant la production. Le gouvernement brésilien, en créant un comité enter ces gouvernements, a réussis à développer divers angles d'attaque: l'amélioration du système de surveillance des activités illégales et des lois permettant une gestion durable des forêts ont également contribué au progrès récents. Les forêts sont aujourd'hui gérées à un niveau plus local et de nombreuses ONG environnementales s'investissent dans la protection et la promotion de la forêt naturelle.
L'avenir n'est donc pas si noir même si, comme dans toute situation, il faut garder à l'esprit les toujours présentes. Le lobby agricole peut s'avérer une menace pour le futur, notamment à cause de l'intéressant marché des biocombustibles et les grands travaux tels que constructions de barrages ou de routes sont toujours une menaces pour l'intégrité de la forêt.
Les acquis doivent aussi être consolidés, d'autant plus que certains systèmes de gestion restent complexes et nouveaux. Comme toujours, la forêt est une force tranquille: on récolte dans 50 ans les erreurs d'aujourd'hui, et celles ci peuvent coûter très cher!
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